Se tourner vers la vie

Quand le passé est un passif, on s’enterre dans le passé des souvenirs ; et on s’empêche alors inconsciemment de vivre le présent.

Si nous acceptons de mourir à ce qui n’est plus, nous nous rendons prêts à accueillir ce qui va advenir.

Osons nous libérer de cette prison du temps qui passe ; pour goûter plus intensément la grâce de chaque instant.

Ne cherchons à fixer ni les situations, les relations ou les êtres.

L’existence ne se vit que dans l’épaisseur du présent, avec nos failles, nos fragilités.

Concevons que chaque jour un possible est là, à notre portée.

Bel été à chacun !